Le quartier marchand

Quartier principal de la cité de Stormwind, c'est la où la majorité des marchands viennent étaler leur marchandises afin de vanter leurs mérites. Si vous cherchez quoi que ce soit, c'est ici que vous le trouverez.

Le Soleil scintiller en haut d'un balcon de pierre, moi, l'ombre, rampais près de la terre.

Je levais la tete a nouveau, elle me regardait. Je lui addressais un rapide sourire puis, au bruits des pas d'un garde, je disparu. Elle me savais immobile, la, toujours au meme endroit, mais le garde continuais sa ronde. Il passa pres de moi, a grand craquement de branche et tintement d'armure. Son casque tombait, il devais obstrué sa vue. Il passa devant moi et je reaparru, comme une goutte se preparant a tomber, suitant du sol, en ombre imposante. Dans sont dos, j'utilisais le pommeau de ma dague pour l'assomé. Un coup precis, a la tête, qui fit un bruit mate, je retint avec peine le garde et je l'addossais a l'arbre, comme si il surveiller la zone en restant appuyer a selui ci.

Ce garde fit un bon marche-pied afin de m'aider a grimper. J'atteint rapidement le balcon et rapidement, j'attirai Ysaria dans l'ombre. Je la fit s'asseoir puis de m'acroupi derriere la chaise et disparu.

- Desolé, c'est une necessité. lui murmurai-je

Cette astuce me permettais aussi de pouvoir sentir sont parfum si exquis et si different du mien avec un delectation digne des plus grand parfumeur.

- Que se passe-t-il?

J'avait eu quelque echo par rapport a un mariage, mais je ne pouvais pas les croirent, je voulais en avoir le coeur net.

- Que se passe-t-il?

Il était entré, l'avait assise et s'était dissimulé derrière elle. A présent qu'ils en était là, Ysaria ne savait pas par où commencer, elle voulait pleurer, mais la jeune femme ne voulait pas paraître faible aux yeux d'Arazael. Poussant un soupir, ses mains serrant ses genoux, elle s'apprêta à parler lorsque la porte de sa chambre s'ouvrit sur la dernière personne qu'elle aurait aimé voir à ce moment.

- Stend... dit-elle d'un ton amer.

- Je ne pouvais pas attendre la semaine prochaine, Ysaria...

Il s'approchait lentement, pas à pas de la jeune femme qu'il pensait seule. Ysaria se leva, comme un félin prêt à bondir. Elle priait pour qu'Azarael reste invisible, elle pouvait régler cet affaire seule, elle le savait, elle le devait.

- Qu'est-ce que tu me veux, Stend ? Tu n'en as pas eu encore assez ?! Tu sais que tu auras ce que tu veux et tu veux retourner le couteau dans la plaie ?! Tu me dégoutes...

- Ysaria, tu sais que tu es celle que je désire plus que tout. Nos familles n'apprécieraient pas que l'on annule ce mariage pour un caprice... Ton caprice. Saches seulement que je t'aime... Et... J'aime les défis...

A ces mots, la main de Stend se posa dans le dos de la jeune femme, et ses lèvres se rapprochèrent des siennes dangereusement. C'en était plus qu'Ysaria ne pouvait en supporter pour le moment. Perdant le contrôle de son sang-froid, elle se dégagea violemment de l'étreinte qu'il tentait d'exercer sur elle et le repoussa de toute ses forces vers la porte.

- Sors d'ici ! Je ne veux plus te voir Stend !

Elle devait sembler très impressionnante, car le noble recula jusqu'à être sorti, sans un mot. Ysaria lui claqua la porte au nez, et la ferma à clé, tremblante de rage. Elle entendit les pas de son fiancé non désiré s'éloigner.

- Tu comprends pourquoi j'ai besoin de ton aide à présent...

Elle était revenue au centre de la pièce, et avait parlé d'une voix suffisamment basse pour que seul Arazael l'entende. S'arrêtant près de son bureau, elle serra les bords en bois avec force, contenant ses émotions, le regard baissé vers ses mains douces qui exerçaient leur pression sur le chêne hors de prix, laissant quelques traces d'ongles dont elle se fichait.

- Je dois fuir... Vite... Toi seul peut m'aider Arazael, je t'en supplie...

Un bruit de dague qui se range se fit entendre puis je reparus, les machoires serrer dans une expression de haine non contenu.

- Il t'aurai embrasser je l'aurais longtemps torturé avant de la tuer...!

Je repris mes esprit et dessera mains et machoire. Je me rapprochais d'elle et je la pris dans mes bras. Cela me fit un bien fou... Ce sentiment de jalousie latent... mais nos mondes son opposé, elle et moi. Et je sais que je ne lui plais pas, comment le pourrais-je? moi le garçon des rue.

- Il faut que je parle avec des amis. Nous allons te faire fuir. Parole d'Omega.

Je me rapeller alors qu'elle ne connaissais pas nos code et nos nom, je le vis a sont visage, a sont expression de reflection profonde. Je ne lui avais jamais parler de ma guilde, de mes amis. Je ne sais meme pas si elle savais que j'avait des tatouages, des marques... POur elle je devais toujours etre le petit garçon de 13 ans famélique.

Je remontais ma manche gauche et je lui montrais la dague noir surmonter de l'oeil.

- Ceci... est le symbole de ma... guilde...

Je montrais l'oeil.

- Et ceci est mon rang.

je montrais la dague

- Je t'expliquerai plus en detailles plus tard. L'omega, c'est mon nom de code, ceux de notre generation. Alpha t'aidera sans doute, mais ne compte pas sur delta, meme si c'est mon meilleur ami. Il existe... Non, desolé.



Je ne devais pas lui dire, pas ça, pas tout de suite, meme si elle le saura un jour ou l'autre, elle serais tenter de les chercher elle meme, et elle mourrait.

- Il t'aurai embrassée je l'aurais longtemps torturé avant de le tuer...!

La remarque d'Arazael lui enfonça une pointe dans le cœur, elle n'avait jamais voulu qu'il assiste à cela. Mais l'irritation dans sa voix était nettement perceptible. Se pouvait-il qu'il soit jaloux ? En colère ? Il l'enveloppa alors de ses bras, il était assez musclé, une vague de réconfort l'envahit, apaisant la colère qui sommeillait en elle contre Stend. La jeune femme lui rendit son étreinte, reconnaissante qu'il soit là pour elle.

- Tu l'aurais tué, tu te serais retrouvé dans de beaux draps... Je suis désolée, tu n'aurais jamais dû voir... Ça.

Elle s'éloigna doucement, dévisageant son ami, ses traits fins et ses yeux sombres lui offrant une sensation de protection troublante. Vraiment troublante, elle ne comprenait pas vraiment cette sensation. Il lui dit qu'il allait l'aider, qu'il devait parler avec des amis. Mais la jeune femme ne comprit pas tout. Oméga ? Arazael lui montra ses tatouages, une dague et un œil, représentant sa guilde et son grade.

- Je t'expliquerai plus en détail plus tard. L’oméga, c'est mon nom de code, ceux de notre génération. Alpha t'aidera sans doute, mais ne compte pas sur delta, même si c'est mon meilleur ami. Il existe... Non, désolé.

Ysaria hocha la tête, elle comprenait, et réfléchissait. Certains détails lui échappaient, mais elle savait qu'Arazael savait ce qu'il faisait, mais la dernière phrase de son ami l'intriguait. Qu'est-ce qui existe ? Que pouvait-il donc bien encore vouloir lui cacher ?

- Quoi que ce soit... S'il te plait fait moi sortir d'ici... Maintenant si possible, cet endroit... Cet endroit devient trop oppressant ces derniers temps. Je suis prête à partir, tout est prêt et... Avec ou sans ton aide j’essaierai quand même...

Tout était dit, il savait qu'avec ou sans lui, Ysaria tenterait de prendre la fuite. Malgré tout, il connaissait mieux les rues qu'elle, ce qui était un avantage indéniable qu'elle n'avait pas...