Arazael Netza'h

Nom : Netza’h

Prénom : Arazael

Age : 17 ans

Race : Humain

Classe de votre personnage: Voleur

Arme(s) de votre personnage: Un poignard, finement ciselé possedant une lame en acier de trente centimètre, droite sans imperfection. Une garde, elle-même d’acier, surmonter la lame et bloquer les doigts pour une prise plus sur. Le corps de l’arme était recouvert d’un cuir rouge qui commençait à être usé. Une arme volée a un chevalier de passage, dans une taverne.
Quelque clou d’acier, long d’une vingtaine de centimetre, utiliser comme des poignard de substitution.


Armure de votre personnage: Une chemise noire, laissant voir pendre sur un torse quelque collier, chapelé et autre chaine, pour seul armure contre le froid. Une cape, enroulé autour de la partie basse du visage de Arazael, de couleur brune, pour seule armure contre le sable et le vent, mais aussi contre ceux voulant le reconnaitre. Il porte un pantalon de cuir brun et noir, orné de clou servant parfois d’arme, mais ici de bijoux. A sa jambe gauche, dans ce qui semble etre une dechirure, est incruster le fourreau du poignard et donc sont sinistre habitant.

Capacité de votre personnage: Fils de la rue : Il s’est élevé dans la violence et dans le vol, il a du apprendre a ce faire discret dès sont plus jeune age, il obtient furtivité

Compétences de votre personnage:
-Agilité supérieur
-Rapidité supérieur
-Vole a la tire
- Magie de l’illusion
Compétence naturelle: Maniement du poignard

Sorts de votre personnage:
-Ombre incertaine: Arazael fait apparaitre une ombre sur un mur ou un sol, donnant par exemple l'illusion que quelqu'un est la. Arazael peut lui donner la forme qu'il souhaite
-Camouflage parfait : Arazael émane une aura qui lui permet d’être invisible a ceux qu’il ne touche pas, en se fondant dans le décor. Lorsqu’il annule l’aura, on a l’impression qu’il sort du mur, comme si il y était fusionné avant. (Il est invisible indéfiniment tant qu'il ne bouge pas.) (Inutilisable en combat.)

Histoire:


Ω

Bandit, truand, assassin, voleur… tant de mots pour désigner ce que je suis… Fils de putain, noble batard non désiré, condamné a l’enfer des pierres froides qui compose la rue. Bagarre de rue, pari et donc argent a la clef, en chien obéissant, je me battais contre d’autre enfant. Stormwind, la ville parmi les villes, a l’effigie des humains… Noble, grande, jeune, belle… violente… Vers mes 7 ans, je crois, on me tatouas d’un symbole qui je le savais changerai ma vie. On me dit de cacher cette grande dague noir surmonté d’un œil qui ornait maintenant mon avant bras. J’étais un voleur, un assassin. La guilde du vice m’accueilli malgré moi, et bien que je ne voulu pas, je dois bien admettre que je m’amuser. Je prenais des risque fou avec les meme enfants que j’avais tant de fois combattu, je tuais parfois, mais je volais surtout. On m’apprit tant de chose sur le vole que je me disais que c’était mon destin. Je pris mon poignard a un chevalier de passage, je cru mourir a tant retenir ma respiration… Ma mémoire se tache déjà d’ombre car la monotonie du vol était accablante.
Dans la cité de pierre,
Aux airs de paradis,
J’ai connu l’enfer,
Mais aussi la vie.

C’était se que nous nous disions, nous, c’était ce de ma génération, les nouveaux, ça permettais de se reconnaitre. Nous nous étions tous combattu au moins une fois, nous avions tous vu les haines des autres. Nous étions des amis de haines. Chaqu’uns de nous avais un sigles, tatouer dans le dos. J’étais l’Omega, mon meilleur ami, le Triangle. Il m’avais massacré trois fois, la première, c’était pour les paris, la deuxième, lorsque j’ai tuer sont frère et la dernière, lorsque je lui est dit que j’allait partir avec Ysaria.


Δ


J’avais alors 17 ans. Dix année a volé et tuer. Dans ses DIX année, je me suis bien sur fait attraper, mais la fois la plus marquante, c’étais lorsque je voulu volé Ysaria. Elle était belle, barder de bijou, scintillante comme un ange… elle n’avait que 12 ans et moi 13. Au fond, je ne suis pas mecontent, elle m’a sauvé la vie. Son père m’a attrapé alors qui je l’avais attiré dans une rue pour la dépouillée, il avait sortis son épée, mais lorsqu’il la brandit au dessus de ma main, sa fille lui cria d’arrêter, que j’étais un enfant… Pour je ne sais qu’elle raison, le père l’écouta. Il me lâcha et me dit de déguerpir, je ne me fis biensur pas prier mais je les suivis tout de meme jusqu'à leur demeure. Là, je vie la jeune fille, sur un balcon. Elle regardait la nuit, l’air pensive. J’entrepris de grimper du mieux que je pu a un arbre proche. Sur le balcon elle prit peur, mais je lui fis signe de ne pas avoir peur, de ne pas crier. Elle était intelligente, je pense qu’elle savait mes intentions. Lorsque je vis sont visage a la lumière d’une torche, je ne sais pas, je crois que je l’ai toujours aimé, je la pris dans mes bras, et lui fit un merci a l’oreille. Une discutions s’engagea mais vite je du partir. Je revins le lendemain et sans m’en rendre compte mes visite devenaient quasiment journalière je l’emmener avec moi la nuit, sur les toits, ont regardaient le ciel, on discuter… J’apprenais beaucoup, mais sa a dégénéré… Son père, a nouveau… Ysaria du rester enfermé chez elle, sous surveillance. Je venais la voir, mais c’était dure et fatiguant. Puis, sont père annonça un mariage arrangé. Je reçu une lettre de la part d’Ysaria : « Aide-moi »


†